Bonjour! Je m'appelle Gabriel Redfield mais mes amis me surnomment Gaby'; l'taré. Je suis né(e) à Londres le 29/12/1972 et de ce fait j'ai donc 40 ans. Côté coeur, je suis volage, sachant que mon orientation sexuelle est hétérosexuel. J'appartiens au groupe de ceux qui déteste l'écrivain XD. Je suis un personne déjanté, curieuse, réservée, maniaque; mais aussi protectrice, sociable, rancunière, séducteur.

Je suis né comme la plupart des enfants qui naissent sur la terre, par accouchement. J’ai vu le jour sous un gros néon blanc dans une salle ou il fait froid et la ou un monsieur vous prend par les pieds pour vous donnez une tape sur les fesses afin que vous puissiez faire entendre votre cri. Lors de mon séjour à l’hôpital je n’ai jamais eu la visite de mon père, ou dirais-je plutôt cet homme qui à profiter de ma mère afin de la mettre enceinte et de fuir comme un voleur. J’apprendrais qu’en réalité cet homme est un client de ma mère. Elle ne m’offre pas la possibilité d’avoir un modèle pour grandir et dès mon plus jeune âge j’apprends donc à me défendre seul et à me rebeller contre elle.

Mon adolescence n’a pas été facile. Je n’étais pas non plus le boutonneux de la classe avec l’intelligence d’une super machine mais j’étais plutôt le petit garçon qui s’incrustais dans un groupe parce que personne ne venait près de lui. Vous voyez le genre ? A mes 16 ans ma maison partie en fumée et c’est la que j’ai découvert le métier que je voulais faire plus tard. Pompier. Devenir quelqu’un et sauvé des vies. Ma mère périt dans les flammes, les pompiers n’ont jamais trouvé la cause mais ils m’ont sauvé moi. Je fus placé dans une maison de bonne famille et ils décidèrent de m’emmené vivre dans leurs famille à Ystad. C’est comme sa que je suis arrivé ici.

J’ai 19 ans quand un deuxième incendie se déclare dans ma vie. Celui-ci à été causé par une bonbonne de gaz dans la cuisine et une allumette. Pourtant personne ne fume dans la famille Redfield. Ce jour la je n’étais pas à la maison et quelque chose me soupçonne, un homme de la police ne crois pas à mon innocence et pourtant une preuve lui démontrera le contraire. Une conversation téléphonique d’une cabine de service sur la grande place. J’étais innocent et comptais bien le rester !

A 20 ans, un an après l’incendie je vis seul. Mes parents adoptif qui n’avait que moi comme fils sont à l’hôpital, ils sont dans le service des grands brûler mais ma mère « Esther » n’en à plus pour longtemps. Mon père lui tient le coup. Je les aime et pourtant je les faits souffrir. Cette année la je rencontre Aurore, une perle cette fille. On se trouve vite des points communs, elle est simple et c’est ce que j’aime chez une femme. Aurore n’est pas seule, elle à une petite fille blonde aux yeux bleu « Caroline » elle se nomme. Je deviens un père pour elle.

19 ans plus tard, aujourd’hui, Caroline n’est plus de ce monde, tué par un meurtrier qui en est à sa deuxième victime. Le seul auteur de cette mort est l’auteur de ce livre, se maudit livre ! Ma fille à été retrouvé dans une boîte à jouet comme le disait son livre, il à écrit le meurtre à la perfection et son plus grand fan narcissique et sanguinaire la reproduit. En tant que pompier je ne peux rien faire pour la sauver, son enterrement à été difficile et encore aujourd’hui ma vie est fichue. Aurore m’a quitté il y à cinq ans alors que je lui ai avoué certains secret de mon passé. Elle ne voulait plus que sa fille me voit mais Caroline ne l’a jamais écouté, Aurore est partie vivre en France. Je suis un Beau-père déchu et Caroline était mon seul espoir de donné de l’amour dans ce monde, aujourd’hui il n’y à plus personne avec qui je peux partager mon bonheur, alors je fais des bêtises. Je bois, je sors en boîte, je drague des filles et ensuite il se passe des choses dans l’hôtel, et il y à cette pensée qui ne me quitte plus, celle de Vanderlock. Sa tête à la télé présenté par le journal de 20 heures, sa tête dans les journaux, son livre qui ce vend bien malgré tout et sa vie qui continue alors qu’il y à déjà deux meurtres. Les gens qui ne le vivent pas ne comprennent pas, mais les victimes veulent toujours la peau de ses salopards de tueur et des auteurs des meurtres prémédités. Je hais Vanderlock et si un jour il y à le feu chez lui, j’irai mais lentement pour que le bois qui l’entoure se consume vite et qu’il brûle en enfer…. Mais à part sa, mes collègues de travailles me félicite chaque fois que je sauve une vie et il m'appelle même parfois "L'taré" parce que j'aime déconné et leurs faire des petites blagues avec le feu quand c'est le temps de midi, vous savez le feu qui disparait comme dans un mouchoir de poche...

FICHE PAR ROMANE