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Klaus S. Jefferson ♣ « C'est le rôle essentiel du professeur d'éveiller la joie de travailler et de connaître. » (Einstein)

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Klaus S. Jefferson

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OMG !
Klaus S. Jefferson
traîne dans le coin.
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Localisation : Ystad
Date d'inscription : 22/01/2013
Klaus S. Jefferson ♣ « C'est le rôle essentiel du professeur d'éveiller la joie de travailler et de connaître. » (Einstein) Vide
MessageSujet: Klaus S. Jefferson ♣ « C'est le rôle essentiel du professeur d'éveiller la joie de travailler et de connaître. » (Einstein) Klaus S. Jefferson ♣ « C'est le rôle essentiel du professeur d'éveiller la joie de travailler et de connaître. » (Einstein) EmptyMar 22 Jan - 22:04




Klaus Sven Jefferson
« Les contes de fées ne révèlent pas aux enfants que les dragons existent, les enfants le savent déjà. Les contes de fées révèlent aux enfants qu'on peut tuer ces dragons. »»



who i am

Bonjour! Je m'appelle Klaus S. Jefferson mais mes amis me surnomment K.. Je suis né à Stockholm le 13 aout 1983 et de ce fait j'ai donc 29 ans. Côté cœur, je suis célibataire, sachant que mon orientation sexuelle est bisexuel. J'appartiens au groupe We want that he leaves Ystad. Je suis une personne réservée, lunatique, discret, calme; mais aussi intelligent, bizarre, protecteur, original.


this my story



Je suis né il y a vingt-neuf ans, huit mois et neuf jours - je vous épargne le décompte des heures et minutes, tic tac, tic tac - dans un hôpital de Stockholm, avec la particularité de ne naître qu'une poignées de minutes avant ma soeur Alissa. Deux jolis bébés pour une famille classique. Un papa et une maman, des oncles et des tantes, des grands-parents et des cousins et cousines à la "en veux-tu en voilà". Nous étions donc fort bien entourés. Les premières années se passèrent fort bien, ni ma soeur ni moi n'étions à plaindre. D'ailleurs, nous étions plutôt fusionnels pour des (faux) jumeaux. ça ne changea pas vraiment en grandissant. Je n'eus jamais de meilleure partenaire de jeux que ma petite soeur. D'ailleurs, on ne se ressemblait pas vraiment. Tant physiquement que par le caractère. De nous deux, elle était toujours la plus téméraire tandis que moi, je préférais tester la situation avant de me lancer dans l'aventure, ce qui ne nous empêcha jamais d'aller chercher des dragons dans nos pays imaginaires. Et quand il fallait parler réalité, j'étais toujours là pour empêcher les garçons de l'embêter, parce que j'étais l'ainé, pas de beaucoup, mais l'aîné quand même. Tant pis si je n'étais pas le plus courageux des garçons, on ne touchait pas à Alissa. Et personne n'y trouva jamais rien à redire.


Ce ne fut que vers nos dix ans que nous quittâmes Stockholm pour Ystad, car notre père avait hérité d'une maison et avait besoin de changer d'air. A vrai dire, c'était qu'il était plus ou moins en dépression, mais ce n'était pas le genre de choses que l'on disait à des enfants. Dans ma nouvelle école, on me qualifia assez vite de "bizarre", car je restais assez souvent dans mon coin, sauf si Alissa était dans les parages, toujours à révasser ou lire des histoires fantastiques parlant de dragons, d'elfes et autres êtres imaginaires. Je lisais des dizaines de livres, de tous genres, même si je préférais et de loin les mondes fantastiques. Si bien que je me démarquais assez rapidement des autres élèves parce que j'apprenais plus dans mes bouquins qu'eux dans leurs jeux de bagarres. Je me fis plus souvent chahuter à Ystad qu'à Stockholm. Les autres gamins m'appelaient le bizarre ou le fou, mais Alissa prit assez vite le tour de retourner la moquerie - l'insulte même car ça en était une - en compliment et se mit alors à m'appeler le Chapelier Fou, ne serait-ce que pour me faire rire. Notre infâme professeur de mathématiques devint la reine de Coeur... Ce qui n'était qu'une autre manière de rire entre nous. On surnommait tout le monde par des personnages de livres. Ainsi une bande de garçons qui m'embêtait se retrouva affabulé des noms des sept nains de Blanche-Neige, ce genre d'enfantillage. Les surnoms disparurent avec le temps, mais le Chapelier Fou me resta.


Alissa et moi ne nous éloignâmes, encore que très légèrement, qu'à l'époque du lycée. Elle n'aimait pas les longues journées de cours, tandis que je m'y complaisais assez largement. Elle voulait être coiffeuse. Moi, je ne savais pas ce que je voulais, si ce n'était apprendre de nouvelles choses. Mais nous nous retrouvions toujours, quelle que soit la situation. Même si on ne passait que peu de temps ensemble, ça nous suffisait. Elle eut des petits copains, j'eus des petites copines. On se croisait, mais on finissait toujours par échanger ne serait-ce que deux phrases. Ce fut la seule à savoir qu'il m'arrivait d'avoir des petits copains. Non pas que j'ai eu honte de cela, simplement, c'était plus simple ainsi. Elle devint coiffeuse tandis que je n'avais même pas terminé mes études. On finit par ne pouvoir se voir que le soir, et encore, quand elle ne sortait pas avec ses amies et que je n'avais pas trop de travail, ou plus rarement, si moi-même je ne sortais pas avec des amis. Ainsi allait la vie. Du moment qu'on pouvait se parler deux minutes, ça nous suffisait. Même un petit sms rapide, du genre "pizza-film vendredi soir ?", suffisait à nous donner le sourire en prévision de la soirée télé.


Je finis par décrocher mon diplôme de prof de littérature ainsi qu'un job partiel aux Archives. On ne peut pas dire que je n'avais pas de quoi m'occuper en journée. Très vite, la soirée du vendredi soir devint notre soirée, à Alissa et moi. Parfois on restait chez moi, parfois chez elle ou encore en ville. Elle me racontait les ragots de ses clientes, je partageais avec elle les frasques de mes élèves, ou bien les étranges découvertes qu'on pouvait faire dans les archives de la ville. Le tout autour d'une pizza ou d'un plat tout simple. une vie tranquille, sans rebondissement extraordinaires, mais ... j'avais passé l'âge de chasser le dragon. Une vie rangée dans une ville tranquille, que vouloir de plus ? Une relation sérieuse ? Je n'avais pas vraiment envie de me fixer avec qui que ce soit.


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Noak T. Karlsson

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Klaus S. Jefferson ♣ « C'est le rôle essentiel du professeur d'éveiller la joie de travailler et de connaître. » (Einstein) Vide
MessageSujet: Re: Klaus S. Jefferson ♣ « C'est le rôle essentiel du professeur d'éveiller la joie de travailler et de connaître. » (Einstein) Klaus S. Jefferson ♣ « C'est le rôle essentiel du professeur d'éveiller la joie de travailler et de connaître. » (Einstein) EmptyMar 22 Jan - 22:13

Bienvenue!
Je te valide, bon jeu parmi nous ;)
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Klaus S. Jefferson ♣ « C'est le rôle essentiel du professeur d'éveiller la joie de travailler et de connaître. » (Einstein)

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