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Niklas K. Christiansson # On ne peut pas sauver toutes les vies, mais parfois, par une sorte de miracle, on peut empêcher certaines d'être détruites

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Niklas K. Christiansson

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OMG !
Niklas K. Christiansson
traîne dans le coin.
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Nombre de messages : 69
Localisation : Ystad
Date d'inscription : 04/02/2013
Niklas K. Christiansson # On ne peut pas sauver toutes les vies, mais parfois, par une sorte de miracle, on peut empêcher certaines d'être détruites Vide
MessageSujet: Niklas K. Christiansson # On ne peut pas sauver toutes les vies, mais parfois, par une sorte de miracle, on peut empêcher certaines d'être détruites Niklas K. Christiansson # On ne peut pas sauver toutes les vies, mais parfois, par une sorte de miracle, on peut empêcher certaines d'être détruites EmptyLun 4 Fév - 23:00




Niklas Kurt Christianson
«Carpe Diem : vivre l'instant présent. »



who i am

Bonjour! Je m'appelle Niklas K. Christiansson mais mes amis me surnomment Nick ou Doc (pour les collègues). Je suis né à Ystad le 11 octobre 1977 et de ce fait j'ai donc 35 ans. Côté cœur, je suis célibataire, sachant que mon orientation sexuelle est bisexuel (mais plutôt orienté homme...). J'appartiens au groupe We are the authorities. Je suis une personne exubérante, optimiste, extravertie, sens de l'humour un peu glauque; mais aussi rigoureuse, soigneuse, bavarde, lunatique.


this my story

Je suis né à Ystad en 1977. Mon père était chirurgien et ma mère était du genre mère au foyer, même si parfois, elle travaillait en tant que secrétaire auprès de l’hôpital, souvent pour des remplacements. Autrement dit, je voyais beaucoup ma mère et très peu mon père. La médecine me passionnait, les noms des maladies souvent me donnait envie de rire, surtout quand j'étais enfant. J'étais un grand curieux, et puisque mon père était docteur, je n'avais jamais peur d'être malade ou d'avoir un bobo. C'était peut-être un peu bizarre, mais c'était comme ça. Pourtant, je n'étais pas décidé à marcher sur les traces de mon père. Moi, je voulais être astronaute. Comme quasiment tous les gamins à dix ans, j'imagine. Enfin, bref, je n'étais pas vraiment exceptionnel. J'avais des bons résultats, surtout en sciences. Mais j'étais aussi du genre un peu dissipé. Il faut dire que j'ai toujours été du genre bavard et blagueur. A la pause, c'est bien, en cours, un peu moins. J'ai eu un nombre plutôt respectable d'heures de retenue, notamment avec mon comparse de toujours, Ivan.

C'est vers la fin du collège que j'ai compris que j'étais pas tout à fait comme les autres garçons. J'avais une petite copine, une jolie petite blondinette, mais je dois bien avouer que je fantasmais au moins autant, si ce n'est plus, sur les petits culs de certains de mes camarades. Seulement, avec un père plutôt intolérant sur ce genre de choses, je refoulais ça un moment, durant, préférant jouer les petits amis modèles auprès de Natacha. Ce qui n'était pas la chose la plus aisée du monde. C'était plus pour faire bonne impression que par amour véritable. De toutes façons, l'amour quand on a quinze ans, ce n'est que des réactions chimiques d'hormones en folies. Lorsqu'il fut temps de partir au lycée, mon père décida de m'envoyer dans un lycée réputé, à Stockholm, raison de plus pour moi pour quitter Natacha « la distance, tu comprends ». Et d'être un peu plus moi-même, surtout à l'internat. Pas quand même à lancer ouvertement que j'étais intéressé par les gars, je n'étais pas vraiment à l'aise avec ça, surtout quand on vous bassine sans arrêt que c'est « contre nature », merci Papa. Et puis il y eut Jens. Le premier garçon pour qui j'eus vraiment de l'intérêt. Il avait tout pour plaire et pour briser des cœurs. Mon premier petit copain, en quelque sorte, même si on peut dire que c'était plus physique qu'autre chose. Du moins, à ses yeux. Je mentirais si je disais que je n'avais jamais rien ressenti pour lui.

Puis, après le lycée, ce fut finalement la fac de médecine et nos routes, à Jens et moi, se séparèrent. Entre temps, je fis plus ou moins mon coming out involontaire face à mes parents. Disons que je n'avais pas prévu qu'on puisse se retrouver nez à nez eux, mon petit ami de l'époque et moi. Raison de plus pour rester à Stockholm, loin d'un père préférant m'ignorer tant que je serais « déviant ». La joie. Je terminais major de ma promotion et à peine mes premières années de docteur passées, je décidais de partir dans l'humanitaire, aider et soigner les populations après des catastrophes, naturelles ou pas très naturelles. Je vis ainsi pas mal de pays, mais surtout de la misère, de la maladie et surtout... la mort. Souvent, de près et jamais très belle. Pourtant, je passais près de 5 ans à me dévouer ainsi, à essayer d'aider et de sauver des vies. Jusqu'à la mort de trop. A force, on pense s'être cuirassé, mais quand c'est un enfant qu'on ne réussit pas à sauver, l'impact est toujours plus impressionnant. Plus douloureux. Et ce fut la « mort de trop ». Mes nerfs et un peu plus que ça lâchèrent et je rentrais en Suède.

Je fus un moment incapable d’interagir normalement avec des êtres humains vivants, si bien que je me retrouvais médecin légiste dans la police d'Ystad. Ou le fantôme qui hantait la morgue (pas que les soirs de pleine lune), passant parfois pour un peu maboul auprès de mes collègues. Au bout de quelques semaines, je réussis à reprendre pied dans la réalité et à agir normalement, en dehors de quelques pétâges de câble, parfois involontaires, parfois calculés, souvent faisant rire mes collègues et amis, et les traumatisant une ou deux fois.


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Noak T. Karlsson

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Niklas K. Christiansson # On ne peut pas sauver toutes les vies, mais parfois, par une sorte de miracle, on peut empêcher certaines d'être détruites Vide
MessageSujet: Re: Niklas K. Christiansson # On ne peut pas sauver toutes les vies, mais parfois, par une sorte de miracle, on peut empêcher certaines d'être détruites Niklas K. Christiansson # On ne peut pas sauver toutes les vies, mais parfois, par une sorte de miracle, on peut empêcher certaines d'être détruites EmptyLun 4 Fév - 23:14

Ouki Doc! Je te valide
Va faire ton petit grabuge au sous sol XD
Bon jeu
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Niklas K. Christiansson # On ne peut pas sauver toutes les vies, mais parfois, par une sorte de miracle, on peut empêcher certaines d'être détruites

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