Bonjour! Je m'appelle Kieran R. Johnson mais mes amis me surnomment Nuada. Je suis né(e) à Londres le 22 août 1971 et de ce fait j'ai donc 41 ans. Côté coeur, je suis célibataire, sachant que mon orientation sexuelle est bisexuel. J'appartiens au groupe we are the autorithies. Je suis un personne introvertie, courageuse, rancunière, perspicace; mais aussi têtue, franc, autoritaire, doter d'un grand sens de l'honneur.

Mon histoire commence il y a 41 ans, dans une famille Anglo-irlandaise composée de mon père, ma mère et ma soeur de 5 ans mon aînée. Contrairement à ce que dise les gens, mon père ne rêvait pas d'un fils mais bien d'une fille. Peut être que tout aurait été différent si ma soeur n'avait pas été malade je n'aurais simplement pas exister. Mon père était colonel de l'armée britannique, il avait épousé une femme bien plus jeune que lui, ma mère une irlandaise fortunée. Dans ma famille, on était militaire de père en fils, ce qui me laisse à supposer que j'aurais quand même vu le jour si ma soeur avait été saine. Comme vous l'avez compris, si je suis né c'était avant tout pour sauvé la vie de ma soeur, ce qu'apparemment je réussi à faire. Si la vie pour moi était rude avec une éducation rigide et froide, celle de ma soeur semblait être un compte de fée. Là où je voyais pleuvoir les coups, elle recevait des cadeaux, où je ramassais des insultes, elle avait les éloges. C'était ainsi et pas autrement. Ma mère se taisait constamment, si jamais elle eu un peu pitié de moi, de compassion ou même d'affection, elle ne me le montra guère. Malgré cela, je ne su jamais détester ma soeur, je ne l'aimais que d'avantage quand je voyais ce qu'elle faisait pour moi. Ma soeur, une vraie petite fée, soignait mes blessures quand mon père allait trop loin grisé par la boisson ou simplement parce qu'il avait besoin de passer ses nerfs sur quelque chose. Elle me donnait toujours la moitié des bonbons et des biscuits qu'elle recevait alors que je n'en avais jamais ou très rarement. Quand j'entendais mon grand père, c'était normal, un garçon ça doit être fort, solide et malmené toute son enfance pour devenir un homme. En revanche, les filles doivent être choyée et ménagée. Une autre façon de voir les choses que la mienne, car à mon sens ma soeur et moi n'étions pas à ce point des opposés.



Comme élève, j'avais toujours été bon, peut être parce que j’espérais que si je me montrais digne d'intérêt mon père cesserait de me casser la figure à longueur de temps. Chose qui n'arriva jamais. Il m'éloigna de ma soeur pour la bonne raison que nous entrions dans l'adolescence et que garçon et fille à cet âge ne sont plus fait pour s'amuser ensemble. A l'époque, il ne s'en rendait pas compte mais il me montait un peu plus contre lui tout les jours que le bon Dieu faisait. Ayant hérité du caractère de mon grand père maternelle, je pouvais souffrir en silence pour mieux me venger ensuite, j'étais soumis qu'en apparence attendant patiemment ma délivrance. Comme de bien entendu, dès que j'eu atteins l'âge d'entrée à l'académie militaire, j'y fus envoyer et en pension s'il vous plait. Mon instruction fût plus pousser encore du fait que j'étais le fils du colonel et que mon cher paternel ne voulait pas d'un tir au flan. J'eu mon lot de corvée et d'heures supplémentaires... Je fus rapidement une des meilleures recrues mais jamais assez bien pour le patriarche Johnson. Parce qu'un fils ne serait jamais digne de cet homme qui se croyait parfait, j'avais fini par le comprendre, mais ça ne m'empêchais pas de m'écorché deux fois plus les mains, les bras et les jambes pour prouver à cet abruti que je ne me laisserais pas abattre par lui et que je ne plierais jamais. Je n'avais que 15 ans quand ma soeur mit au monde mon neveu: Ryan. Le mariage avec le futur médecin avec qui elle sortait à l'époque fût quelque peu précipiter, mais c'était un brave type et ce fût un vrai miracle qu'on m'autorise une permission pour y assister. Quelques mois plus tard, ma mère décédait enfin... si une pendaison est un décès.



Ma porte de sortie s'annonça d'une façon qui n'était pas des plus communes. Devenu militaire pour de bon et gradé en plus de cela, l'agence fédéral Interpol avait besoin de personnel entraîner voir sur entraîner dans mon cas. Envoyé avec des régiments dans les parties du globes nécessitant ce genre d'intervention armée, je menais double jeu, jusqu'à ce qu'Interpol me recrute officiellement en tant qu'agent et croyez moi, je n'allais pas craché sur l'occasion de me barrer de chez moi, ni d'échappé à la lignée de militaire toute tracée. Bref, une nuit j'ai mis les voiles sans prévenir personne à part ma soeur. J'ai ainsi disparu de la vie de ma famille sans intention d'y remettre les pieds mais ayant encore quelques nouvelles par ma soeur. J'appris ainsi la mort de mon géniteur, ce qui ne me fit ni chaud, ni froid. J'y y surtout vu le temps de revoir ma soeur et ce qui restait de ma famille: mon beau frère et mon neveu Ryan âgé alors de 10 ans. Plus d'une fois, je lui avais envoyer des cadeaux en provenance des pays où je me trouvais, mais personne ne jugea utile de lui spécifié mon travail. Néanmoins, ma vie ne changea pas des masses, j'étais toujours rarement présent, essayant d'être là pour une fête ou l'autre.



Plus d'une fois, ma soeur m'avait supplié d'arrêter après avoir vu l'état dans lequel me laissait les missions que je faisais... mon caractère et ma formation militaire m'avait souvent envoyer plus dans le feu de l'action que dans un sympathique bureau. En réalité, je ne connaissais même pas la tête de mon bureau. Mais rien n'y a fait. Jusqu'à ce que... Jusqu'à ce que ma soeur et mon beau frère décède dans un accident de voiture lors d'un voyage en amoureux à Las Vegas. Je me retrouvais seul parent proche encore envie de mon neveu. Je pris alors la décision la plus difficile de ma vie, raccrocher l'agent, prendre le petit sous mon aile et partir loin, parce que mon instinct d'agent me disait que c'était louche comme affaire, trop louche. D'ailleurs avant de raccrocher, je me suis charger moi même d'élucider cette affaire qui révèla que mon cher beau frère s'était retrouver mouillé avec des requins à cause de son addiction au poker. Grace à mes relations, j'adoptais Ryan et je quittais la Grande Bretagne pour un pays plus calme: la Suède. Je deviens commissaire de police, cachant mon passé d'agent d'Interpol et essayant de mener une vie normal et de veiller sur mon neveu qui était un peu casse coup, une tâche qui n'était pas aisé pour quelqu'un comme moi sans port d'attache et sans la prétention d'avoir des enfants. De temps à autres, j'acceptais de reprendre du service pour Interpol, parce qu'un bon agent ne raccroche jamais totalement... et un bon agent c'est ce que j'étais et ce que je suis encore.



Je ne sais pas dire réellement si j'ai totalement réussi mon retour à une vie normal. Le fait est que je n'ai pas le temps de me pencher sur ce que je pense ou non avec ce qui se passe dans mon commissariat... Avec cette grosse affaire sur le dos j'ai l'impression d'être de retour à Interpol, ce qui je crois ne serait pas pour me déplaire...

FICHE PAR ROMANE