Il n’était pas encore 20 heures que j’avais déjà soigner plusieurs personnes, les urgences c’est quelque chose surtout lorsqu’on voit des enfants, parfois il y à des calmes mais des fois, envie de mette du coton dans les oreilles ! Je terminais un patient quand l’infirmier chef m’appelais pour m’occuper d’un jeune homme blessé au pectoraux, je le regardais c’était l’heure de ma pause. Il refusa que je prenne ma pause car aucune autre infirmière ne savait le prendre. Je roulais les yeux au ciel je devais rentré chez moi, j’étais fatiguée de ma journée et puis j’avais envie de me reposer. J’approche du jeune homme et le regarde, ou plutôt je regarde sa blessure. Je voyais les compresses fichue par le sang :

« Suivez-moi. »

J’entrais dans un local pas plus grand qu’une cabine de vestiaire dans une piscine municipale. J’entrais et je préparais la table ou il pourrait s’asseoir, je pris des compresse et je lui enlevais les compresses et regardais, je grimaçais un peu et il lui fallait des points de sutures.

« Quelques points s’impose. »

Je souris et je regarde sa blessure sans jamais le croiser du regard ma priorité c’est son pectoraux. Je prends des outils stériles, du fil et des compresses, je prends une seringue avec du produit et je pique près de la blessure, je masse un peu et je décide de lui enlever son t-shirt en le déchirant pour avoir plus de place, je lui passerai un t-shirt d’ici au pire pour m’excuser mais je ne pouvais pas travailler comme sa. Je regardais son corps et un sourire se dessinais sur mon visage le temps que je masse pour que le produit agisse, je toussais un instant et le regardais enfin dans les yeux.

« Comment-vous êtes vous fait cela ? »

Je regarde la blessure puis je cesse de masser et je prend le fil. Je prend le tabouret pour me mettre à sa hauteur, je met mes lunettes de mouche carrée qui ne me vont pas et qui sont rare quand je les mets puis je commence à piquer, 13 points de sutures.

« Votre métier est dangereux mais bon, souvent il nous faut sa pour vivre »

Je ne savais pas ce que je racontais, je me reculais et je cherchais après un pansement de la taille de sa blessure, je regardais dans tout les tiroirs et je ne trouvais rien, je me redressais.

« Je reviens tout de suite. »

Je quittais le local en laissant la porte entre ouverte et mon chef me demandais comment se passais mon intervention, je lui dis que tout va bien, il entra dans le local et regardais l’homme d’un air mesquin. Il se tourna vers moi et me fit une remarque sur mes lunettes. Je revenais avec des compresses et du ruban médical je regardais mon chef puis il partit. Je baissais la tête un peu gênée car d’habitude je ne montre pas mes loupes à mes collègues et la j’avais oublié. Je coupais un morceau de compresse, de ruban médical et je lui collais sur sa blessure.

« Désolé d’avoir mis du temps, mais ici les collègues ne sont pas fort organisé. »

Je souris bêtement et enlevais mes lunettes, j’avais oublié de les enlevés.

Je regardais le jeune homme et je souris, il travaille donc à l’armée.

« Est-ce qu’il n’y à pas un règlement normalement pour entrer à l’armée ? »

Je le regarde un instant et une fois que tout est fini, je retire mes lunettes et les range sous ma blouse blanche derrière mon nom et mon numéro d’infirmière « Zara D. Carlsson ; #13 » écrit sur deux lignes. Je me redresse et je vois que les couloirs commencent à ce vider, je sors de la cabine et prend un papier.

« Venez avec moi, on va aller à l’accueil, je vais vous faire les papiers. »

Je partis dans le couloir et une fois arrivé au comptoir des inscriptions, le secrétariat, je me mis derrière l’ordinateur pour entré des données et imprimée une feuilles. Je pris un bique et lui je posais la feuille sur le comptoir et je commençais.

« Nom, prénom, date de naissance, ville, et situation civile. »

Pour le travaille tout sa. Je le regarde et avant qu’il ne commence à me sortir ces réponses, je pris un t-shirt emballer dans un papier transparant.

« Voila pour vous recouvrir, désolé pour votre t-shirt mais il était bon pour la poubelle avec tout ce sang. »

Je souris et je note la date de cette intervention sur le papier et dès qu’il cite, j’écris en même temps.

Je regarde le gars m’expliquer un petit peu que l’un des gars était limite dans les test d’aptitudes qu’ils ont passé si il se souvient bien. Je souris en coin mais se sourire se trahis par une petite grimace qui voulais dire « Bah tiens, pourquoi on l’a gardé celui là ?! »

« Malheureusement c’est vous qui ramassez ses pulsions dans le pectoraux. »

Je regardais son torse et la blessure couverte d’un pansement blanc qui rougit légèrement à cause des points que je lui ai fait. Je regardais le t-shirt qu’il me rendait, je n’avais pas prêté attention à la taille personnellement car il était ranger dans la boîte des taille « L » Non pas que je le trouve large mais plutôt pour sa musculature. Je ris un peu lorsqu’il me parlait qu’il allait faire tout craquer et je pensais à Hulk, l’homme qui se transforme en géant vert tout musclé. Je souris ensuite et je le prends pour le placer sur des classeurs à ranger.

« Pardon, je n’avais pas vu la taille. » Il me dit que de toute manière il y avait sa voiture pas loin et qu’il survivrait jusque la. « Vous êtes sûr ? Sinon je peux demander un peignoir le temps que vous sortez d’ici… »


C’était bête comme excuses mais j’avoue que son torse était très beau et j’imaginais un peu le dessous, perverse que je suis intérieurement je mis le bic devant mes lèvres et je l’examinais. Un toussotement derrière moi me fit sortir de ma bulle et il y avait le chef, je me sentie un peu oppressée et je copiais tous ce qu’il me disait, son nom, adresse etc… Mon chef l’examina un instant et s’interposa dans la conversation.

« _ Zara, après Monsieur vous pourrez partir, merci. Dites est-ce que vous allez laissez Monsieur comme sa, il fait froid dehors et je vous ai déjà dis qu’il y à d’autres patient dans la salle et qu’il n’est pas bon de laissez une personne se promener torse nu, on est dans un hôpital pas à la piscine… »
« Oui Monsieur, je sais mais les collègues ont mal ranger les t-shirt et je lui ai donné un mauvais. »
« _Aucune excuse. Filez et pas de retard demain sinon sa sera retenue sur votre salaire Mademoiselle Carlsson »

Je regardais mon patient et soupirai en silence avant de rouler les yeux au ciel, mon chef était 10 fois plus mince que lui, plus petit avec des lunettes ronde comme harry potter et il avait l’air d’un intello sortie tout droit de l’université. Il faut dire qu’il replace ma chef qui est malade depuis un bout de temps alors, on risque d’avoir ce petit péteux encore longtemps !

« Désolé, il fait son prétentieux car il est nouveau, il veut bien se faire voir… Il remplace Madame Michaux, notre ancienne chef… »

Je ne sais pas pourquoi je lui raconte sa, peut-être parce qu’il était en première place. Je souris en coin et continue d’écrire sur la feuille, je la range dans un classeur puis je lui prescrit une ordonnance avec des cachets pour la douleur et une crème à mettre autour de la plaie.

« Voilà pour vous. La facture vous seras envoyé chez vous Monsieur Magnusson »

Je souris et rangeais le t-shirt dans l’armoire et je laissais les classeurs comme sa, j’attendais qu’il prenne congé pour commencer à ranger et finir ma pause de travaille.

Je regarde Thorgan me dire que c’est son travail, je souris en coin et le regarde toujours puis il me dit qu’il est soldat, voilà ce qui explique son corps d’athlète, je souris en coin et regarde mon patron partir, il me lâche directement que c’est un homme prétentieux qui veut péter plus haut que nous car il se prend pour la haute société.

« Oui, mais si il continue je sens que je vais faire une bêtise ! »

Je le regarde et il prit l’ordonnance il espérait me revoir en dehors de l’hôpital, c’est vrai que ce n’est pas le contexte pour rencontré des gens. Je souris et penchais la tête en avant puis je la relevais avec le sourire. Il me surnomma numéro 13 à cause de mon numéro d’infirmière sur mon badge ; je souris.

« Au revoir Monsieur Magnusson. »

Je souris puis le chef revint près de moi. Il m’engueulait presque parce que je n’étais pas encore partie. Je finalisais la paperasse, rangeais quelque papier puis je m’en allais dans les vestiaires pour ranger ma blouse blanche, changer de chaussure et remettre ma veste longue brune. Je remis mes bottes puis je pris mon sac dans le casier et je sortie mes clefs de voiture. Je regardais partout pour voir si je n’ai rien oublié et je quittais les vestiaires, le chef était habillé lui aussi, autre chose qu’en veste blanche avec sa cravate. Je le regarde et passe à coté de lui mais celui-ci m’arrête et me dit que ce que j’ai fait ce soir n’était pas tolérable, je lui explique que le patient n’a pas souhaité de blouse pour retourner à sa voiture, il me regarde et me demande de passer demain à son bureau car il va falloir que je parle avec lui. Je soupire et manque de lui dire ma façon de pensée avant de partir d’un pas assez rapide pour retrouver ma voiture et boire un coup de vodka, ma chère bouteille.

Sur le parking je vois au loin du mouvement mais je ne prête pas plus attention, mon chef lui quitte en premier le parking avec sa mercedes, moi j’ai une petite voiture trois porte qui me convient bien. J’entre dedans et j’essaye de la démarrer, je fronce les sourcils et recommence, une fois, deux fois… Troisième fois je m’énerve et tape sur le volant puis j’ouvre le capot, je sors de ma voiture et ouvre le capot et je ne connais rien mais en tout cas rien ne fume. Je prends mon portable et regarde à l’intérieur de la voiture avec la lumière de l’écran, pas très pratique je sais mais je ne suis pas fort équipé. Je me redresse et la pluie commence à tombé, je pousse un juron et soupire longuement, je vais faire comment moi maintenant ??! Je clape le capot et rentre dans ma voiture, je regarde mon portable et je tape le numéro de la dépanneuse, seulement mon portable vieux de trente ans ne tient plus fort la batterie et voila que lorsque je demande une dépanneuse et que la femme me demande mes coordonnées, paf sa coupe. Je cogne ma tête contre le dossier de mon fauteuil et maudit ma soirée, je prend ma bouteille et commence à boire de grande gorgée pour me mettre dans l’ambiance d’une soirée pourrie ! Je ne sais rien faire dans ma voiture ! Je sors, la ferme par sécurité et sous la pluie j’avance avec mon sac à l’épaule et les cheveux trempée, je me dirige vers la voiture sur le parking qui à allumé ses phares mais n’a pas bougé, je sais que je prend un risque mais ce n’est pas ma soirée alors… Je toque à la fenêtre et j’attends que la personne ouvre pour lui demander de l’aide. Ma bouteille rangée dans mon sac, je veux passer avec une bonne impression pour qu’il accepte de m’aider. Je fais aussi mon plus beau sourire malgré mon malheur.

J’aperçu de la lumière blanche/bleu à l’intérieur de la voiture dans un petit carré, il devait surement terminer une conversation téléphonique. J’avais mis ma capuche et dès qu’il ouvrait la vitre et qu’il me demandait si j'avais un problèmet, je souris bêtement.

« Oui malheureusement, j’ai un soucis avec ma voiture elle ne veut pas démarrer, alors je voulais savoir si vous pouviez m’aidez »

Je le regarde, il est blessé et je ne voulais pas trop lui demandé des choses car soit c’était de m’aider à voir ce que ma voiture a, mais sous la pluie. Ou bien m’accompagner dans un garage en tractant la voiture mais à cette heure-ci il est difficile de trouver quelque chose d’ouvert. Ou sinon, troisième solution me ramener chez moi. J’attendais de voir si il acceptait de m’aider sinon, je téléphonerais…. Non même pas, mon portable n’a plus de batterie….

« … Mon portable n’a plus de batterie sinon j'aurai appelé une dépanneuse mais j'ai pas de chance, en faite je suis dans la mouisse… »

Pour être polie. Les gouttes tombais sur mon visage et sur ma veste et elle rentrait dans la voiture de Thorgan, je restais penché à sa voiture, je commençais à avoir froid car le vent se levais.

Je regardais thorgan, il devait sûrement me prendre pour une pauvre fille qui sait pas se débrouillée seule, je le regarde et il me propose de rentré dans sa voiture, coté passager. Je regarde sa voiture et souris légèrement avant de faire le tour de la voiture par l’arrière et je m’installe dans la voiture, j’enlève juste mon manteau mouillé pour le mettre à mes pieds afin de ne pas mouillé tout son siège.

« Merci, désolé de vous dérangez... Vous avez sûrement mieux à faire que de rester sur le parking.. »

Je souris puis je lui explique que mon portable n’a plus de batterie. Il me regarde me tendant son portable en me disant que je suis profondément dans la merde, je fais un peu les gros yeux en faisant oui de la tête puis je compose un numéro de garage que je connais, le gars décroche et je lui dis que j’ai besoin d’aide, que ma voiture à recommencer et que j’étais dans la mouise pour travailler demain ! Il me dit qu’il ne peut rien pour moi, qu’il à un client pour le moment puis qu’il ferme. Je suis déçue et je raccroche en lui disant à peine au revoir. Je regarde Thorgan et lui rend son portable.

« Merde ! » Je lui rends son portable « Merci beaucoup… je suis dans la merde jusqu'au cou. »

Je regarde devant moi réfléchissant à une astuce pour demain. Je suis dans la merde… Il faut que je m’organise… Je pose mon coude sur la portière et pose ma main sur mon front en fermant les yeux.

« C’est vraiment pas ma veine… »

Je le regarde et souris en coin légèrement, je gâche peut-être sa soirée après tout. J’aurai peut-être pas du venir le trouver. Bref, je parlais au téléphone et personne ne pouvais m’aidé, je raccrochais et lui rendrais son téléphone. Thorgan me faisait la traduction de ma conversation téléphonique et je souris.

« Exactement, donc il va falloir que je m’arrange pour demain, je sais pas quoi faire… »

Je regarde Thorgan puis je souris légèrement en tapotant mon sac et je sentais la bouteille de vodka, oserais-je la sortir devant lui ? Non parce que cela ne se fait pas, même si j’en ai fort envie ! Je toussais légèrement, le froid me faisait frissonner. Je le regardais lorsqu’il se proposa pour me ramené jusque chez moi.

« Je n’habite pas dans le centre d’Ystad, même si ce n’est pas petit je ne voudrais pas prendre de votre temps. »

Je le regarde devant moi l’eau ruisselé sur le pare brise.

« J’habite près de l’église. Vous connaissez ? »

Je le regarde toujours en espérant que j’ai les clefs de chez moi ! cette pensée me passait par la tête mais je regardais Thorgan, espérant qu’il ai le temps de me ramené sans que je ne le dérange plus que je ne le fais.

Je regarde Thorgan, je souris en regardant toujours devant moi.

« Oh, cela fait bien longtemps que mes amis ont quitté le coin ou sont en prison. Sinon ma voisine à quatre vingt ans passé et n’a pas de voiture et j’habite à coté du parking de l’église, les autres voisins je ne les connais pas et je n’aime pas mêler ma vie aux autres. »

Je continue de le regarder, c’est malheureux mais c’est comme ça, on à pas tous la chance d’avoir des voisins avec qui ont s'entends bien. Lorsque je lui demande si il connait le coin il me dit qu’il habite à une dizaine de rue de l’église, je souris en coin car je n’ai donc pas besoin de lui expliquer. Je le vois mettre le contact et sa ceinture, je fis de même pour la sécurité et sa responsabilité. Quelque goutte me tombais sur le visage et chatouillais les ports de ma peau. Je m’essuyais d’un revers de main et, parcourue d’un frisson je me mis à éternué. J’avais bloqué mon éternuement dans ma gorge, même si c’est très mauvais mais je ne voulais pas exprimer mon éternuement comme sa.

« Oui j’ai tout ce qu’il me faut, merci »

Je n’avais pas à vérifier car je sais que tout est dans mon sac, je n’y bouge jamais rien.

Je l’écoutais, sa devais être beau de vivre dans son quartier… Ici à part les vieilles personne qui vous disent bonjour, la mentalité des jeunes c’est à chier ! Je regardais les lampadaire défilé et les phares des voitures dans l’autre sens.

« Cela doit être bien de vivre dans votre quartier. »

Nous arrivons devant chez moi et je fouillais mon sac pour prendre mes clefs. Je commençais à perdre patiente car je ne trouvais pas mes clefs ! Je fouillais comme une dingue plusieurs fois afin de comprendre que j’avais oublier mes clefs dans mon casier car oui, les clef de voiture et de maison ne sont pas sur le même trousseau, question de poids pour le barrilet.

« Numéro 13 est vraiment douée... ! »

Je soupir légèrement et tapote nerveusement mes doigts sur mon sac, je me mords la lèvre inférieur ne sachant que faire.

« Je… Je n’ai pas mes clefs, elles sont dans mon casier et les clefs de mon casier sont avec. »

Voila l’inconvénient d’avoir des casier à cadenas …

Je souris lorsqu’il me dit qu’il était fidèle à son quartier. Moi si je pouvais je partirais d’ici ! L’église j’aime, mais les cloches j’aime pas ! Je fouillais mon sac puis lorsque je lui annonçais la mauvaise nouvelle il s’ajoutait une pointe d’humour.

« Je dors, quand j’y arrive… Mais c’est la première fois que sa m’arrive vous savez… Et sa m’angoisse un peu mais je sais que demain, je les récupérerais. »

Je le regarde soupiré et je n’aime pas sa… Il m’annonce ma journée de demain, appel à un serrurier et à un dépanneur ! \o/ Wouw ! je suis heureuse comme pas possible la… Puis il me propose sa chambre d’ami, personnellement sa me gêne beaucoup car je ne le connais pas et c’est un patient. Jé le regarde me mordant la lèvre inférieur en arrachant une petite peu et je fini par sourire.

« D’accord, je veux bien mais si vous acceptez une condition »

Je le regarde, je sais qu’il ne peut rien me faire étant donné qu’il est blessé et s’il aurait voulus on serait déjà à la limite de la ville. Je voulais juste lui proposer de l’argent car je ne veux pas profiter de sa gentillesse.

Je regarde Thorgan me demander si j’avais un animal de compagnie parce que sa m’angoissais d’oublier mes clefs une fois et donc de laisser l’appartement seul. Je souris.

« Oh non, pas du tout… Il serait malheureux chez moi donc je ne préfère pas prendre d’animaux… »

Je souris légèrement avant de lui proposer une condition, celle de l’argent dans la pensée mais il la sortie haut et fort en me proposant d’acheter le déjeuner demain matin, ce n’était pas ce que je voulais mais c’est okay.

« … d’accord, Okay. Je payerai le déjeuner demain matin ! »

Je souris